Le travail de Virginie Litzler se nourrit des dialogues entre les personnes, les espaces et le mouvement, observés dans le quotidien. S'ensuit une réflexion importante qui explore le décalage entre percevoir une photographie, ses constituants et l'environnement de l'installation. L'ambiguïté spatiale fait tergiverser notre appréhension du travail pour constituer une poétique de l'à côté. Elle donne également une place importante au dessin comme lieu de recherche et d'expérimentation.