Les oeuvres se déclinent en sculptures murales, en boites lumineuses, en puzzle en relief, mais aussi en tapis et bijoux, partageant le même language géométrique.
Des panneaux d'acier rétro-éclairés découpés au laser expriment la suite de Fibonacci en s’appuyant sur les écritures maya, babylonienne, chinoise ou binaire qui leur confèrent un équilibre formel mystérieux.
Des puzzles représentent sous la forme géométrique qui leur est propre les nombres irrationnels tels que le nombre d’or, Pi, racine carrée de deux ou trois, où les chiffres sont remplacés par des couleurs. La règle s’efface ensuite pour ne conserver que le caractère apparemment aléatoire, énigmatique.