Passionnée par l'expression artistique dès l'enfance, fille de peintre, Amélie Haut se consacre pourtant, pendant toute sa carrière, à l'enseignement des langues et à la traduction. Jusqu'à la rencontre en 2010 avec Isabelle Ravet qui la pousse à reprendre les pinceaux et dont elle devient l'élève. Sous son influence elle s'oriente d'abord vers le trompe l'oeil, puis l’hyperréalisme et les compositions à la façon de la renaissance espagnole avant d'opter pour les vanités façon XVIIème ou modernisées. Ce qui l'intéresse dans ses compositons surtout c’est la narration, le récit et l'histoire que chacun.e peut construire à partir de ses toiles.