Sensible à la rationalité, à la pureté des formes, Philippe Leblanc s’inspire des mathématiques, des séries célèbres comme celle de Fibonacci aux formes coniques, en passant par les nombres emblématiques.
Son œuvre exploite et exprime les paradoxes entre la rigueur du concept et les contraintes de la matière, la règle sous-jacente et l’aléatoire apparent, l’aridité mathématique et le côté ludique de l’expérience, rejoignant son idée que l’art doit à la fois stimuler et apaiser l’esprit.