La dure réalité du confinement et la pseudo-extase qui s’en suivit ont fait pousser des fleurs dans mon atelier, sans l’avoir prémédité : une fenêtre s’est ouverte sur la nature.
Mes peintures récentes sont comme des paysages zoomés. La nature respire, « ça grouille ». Quand du chaos naît une certaine harmonie, un certain équilibre, il y a de l’espoir, même infime.
Traces du temps qui s’écoule ou monde infini, elles reflètent un long cheminement avant que n’apparaisse la dernière touche, comme si elles ne voulaient jamais finir… Bientôt vient l’apaisement.
Atelier ouvert « hors zone » (112 rue Malibran) le dimanche 15/10 de 11h à 18h.